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 " Shozukai – celles qui voulaient se souvenir "

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Damonx

Damonx


Nombre de messages : 854
Date d'inscription : 21/02/2008

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MessageSujet: " Shozukai – celles qui voulaient se souvenir "   " Shozukai – celles qui voulaient se souvenir " Icon_minitimeDim 2 Juin - 9:32

Un film asiatique : « Shozukai – celles qui voulaient se souvenir » de Kiyoshi Kurosawa.
Comme je le répète à chaque fois, rien à voir avec le grand Akira Kurosawa ; ce nom doit être proche d’un Dupont, Martin au Japon.
Cela n’empêche pas en tout cas, que Kiyoshi est un grand réalisateur qui a une certaine carrière derrière lui maintenant (« Cure », « Charisma », « Kairo », « Loft », « Retribution » et son petit dernier en 2008 « Tokyo Sonata » qui remporta le prix du Jury dans la section « Un certain regard » à Cannes.
Le film est l’adaptation du best-seller de Minato Kanae qui donna lieu au Japon à une mini-série de 5 épisodes en janvier 2012 et pour l’international, 2 films dont voici le premier.

Dans la cour d’école d’un paisible village japonais, quatre fillettes sont témoins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se souvenir de l’assassin. Asako, la mère d’Emili, désespérée de savoir le coupable en liberté, convie les quatre enfants chez elle pour les mettre en garde : si elles ne se rappellent pas du visage du tueur, elles devront faire pénitence toute leur vie. Quinze ans après, que sont-elles devenues ? Sae et Maki veulent se souvenir.

« Shozukai » signifie « pénitence ». On se doute que le film va être loin d’une comédie.
Ce qui est le cas. Le drame d’abord (avec le mystère mais qui est le coupable ?) et sa suite immédiate (une mère déçue et culpabilisatrice).
Ensuite les vies de Sae et de Maki qui sans vous donner trop de détails, finissent pas trop bien.
On se demande alors que deviendront celles qui s’efforcèrent d’oublier (prochain épisode) ?
2 vies fort différentes ; l’une dans la soumission (devenir une poupée pour son mari) l’autre dans l’agressivité (devient une institutrice assez cassante et championne de Kendo, très compatible donc).
Et la mère toujours présente, sans age, toujours belle, presque vampirique. Une impression fantastique qui nous ramène aux œuvres plus anciennes du réalisateur.

Visuellement, toujours aussi froid tout en étant réaliste.

Au niveau des comédiennes, les noms vous diront rien (à moi non plus d’ailleurs) même si elles sont plutôt célèbres au Japon pour des bluettes : le film leur permet un contre-emploi de bonne aloi.

Le film n’est pas complet mais le début est assez intrigant (j’ai envie de savoir quand même) ; et permet de monter des moments de vie à la japonaise toujours aussi étrange (le couple ; l’école).
A suivre….
Bon film !!
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